Le gouvernement assoit son pouvoir sur la culture de la peur irrationnelle. Il promeut la sûreté par des méthodes paternalistes comme le contrôle des substances. Il nous soustrair au fardeau décisionnel, nous infantilise et nous rend inapte à disposer de nous-mêmes.
La santé publique, qui agit comme police des bonnes mœurs, maintient la population sous tutelle permanente. Lentement, nous nous confortons dans cette prise en charge et même qu’avec les crises répétitives nous adhérons plus facilement aux dogmes de la sûreté.
Ainsi, la guerre contre la drogue s’inscrit comme un « gateway », c’est-à-dire une passerelle qui permet l’extension de la mentalité paternaliste. Les codes sanitaires servent de fer de lance contre la liberté, une forme de précédent qui pose les bases d’une société aliénée.
C’est d’ailleurs l’une des raisons profondes qui pousse les militants de tout ordre à faire front contre l’infantilisation des personnes. Pour s’extraire du jeu, il faut s’ouvrir à la raison, faire preuve de bonne foi et de discernement. Être vigilant, courageux et surtout être unis.
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