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Un plan plus vert

Une nouvelle vision
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Près de trois ans après sa légalisation, le cannabis reste un tabou au Québec et un parfum de prohibition continue de planer sur l’industrie pourtant légale de la marijuana et de ses accessoires.

Les utilisateurs continuent toujours de subir le stigmatisme en place depuis des années et plusieurs se plaignent de subir des regards d’ostracisme pendant que d’autres nous confient subir de l’intimidation et de l’oppression venant même à l’occasion de notre propre système de santé.

Le parti marijuana de Québec – (PMQ) est une association de circonscription créé en 2020 par une nouvelle génération de militants et se penchant sur la problématique du Québec concernant le cannabis dans le cadre fédéral.

Depuis 2019 le gouvernement québécois a choisi un encadrement de cette loi qui apporte des préjudices et des problématiques de société en augmentant le risque de judiciarisation des citoyens.

Notre nouveau plan plus vert que jamais se résume en UNE solution principale, nous proposons concrètement la réutilisation des terres fédérales qui seraient en mesure d’accueillir des cultures de chanvre à grande échelle et la réutilisation des bâtiments fédéraux vides et non utilisés pour en faire la culture du cannabis médical et récréatif pour en retourner la totalité des profits dans différents secteurs qui seront dans l’intérêt des familles canadiennes.

Environnement

Voici quelques faits pour vous mettre en contexte :

  • L’empreinte écologique du canadien moyen (7 hectares) est 3.5 fois plus élevée que l’allocation mondiale moyenne par hectare.
  • Le canadien moyen est également un des plus grand consommateur d’eau douce par habitant au monde !
  • Le Canada est le neuvième plus grand producteur de gaz à effets de serre (GES) au monde

Pour toutes ces raisons et bien d’autres, nous devons repenser notre façon de consommer et trouver des alternatives écologiques, dès maintenant. C’est pourquoi le chanvre devrait être discuté à chaque fois qu’on parle d’enjeux environnementaux. Voici donc 4 crises auquel le chanvre peut être la solution :

#1 Sauver les ressources en eau

Le chanvre ne requiert pas d’irrigation. Ce qui signifie que nous n’avons pas besoin de déplacer de l’eau et de l’utiliser pour arroser le chanvre. C’est important, parce que les statistiques démontrent que 70% de l’eau potable que nous consommons sert à l’agriculture. Évidemment, une bonne proportion de cette eau retourne à la terre par les sols et l’évaporation. Toutefois, les monocultures qui requièrent l’usage de pesticides polluent les sols et les cours d’eau par la même occasion.

Il y a de nombreuses cultures très riches qui demandent énormément de ressources en eau que l’on peut remplacer entièrement ou partiellement grâce au chanvre. À commencer par le coton. Pour vous donner une idée, 9 788 L d’eau sont utilisés pour produire 1 kg de coton. Le chanvre, c’est près de 4 fois moins, on parle d’environ 3 000 L par kg de fibre textile (SEI, 2005)

En plus de ne pas avoir besoin d’irrigation, le chanvre ne requiert aucun pesticide à sa culture, et ça c’est bon, non seulement pour notre santé, mais aussi pour le sol et la qualité de notre eau.

#2 Co2:

C’est un fait établi, les émissions de CO2 sont en constante augmentation depuis plusieurs décennies. Les gouvernements à travers le monde tentent de s’harmoniser sur des démarches à entreprendre pour réduire les émissions de GES (dont le CO2 fait partie), notamment par des démarches comme le marché du carbone.

C’est bien beau tout ça, mais ce serait naïf de croire que tous les pays (qui ont tous des préoccupations principalement individuelles) vont se tenir par les mains et faire tout en leurs pouvoirs pour sauver l’avenir de la Terre.

“97% des scientifiques sont d’avis que les changements climatiques sont réels et qu’ils sont causés par activité humaine. Ignorer la science n’est plus une option.” -Bernie Sanders

Et c’est pourquoi, encore une fois, qu’il faut encourager l’industrie du chanvre. Lors de sa culture, tout comme les arbres, le chanvre emprisonne du CO2 par le principe de photosynthèse. Ensuite, lorsqu’on utilise sa tige pour en faire des matériaux de construction et qu’on en fait un béton de chanvre, on vient emprisonner le Co2 dans les murs. Et ce qui est encore plus génial, c’est que ça prend seulement 3 mois à faire pousser ! Donc on peut répéter le processus encore et encore et encore…

#3 Pour remplacer l’industrie du pétrole :

Inutile de vous convaincre des méfaits du pétrole sur la santé de la Terre, pas vrai ? Quoi qu’il en soit, c’est une ressource non renouvelable qui devrait être complètement épuisée au cours des prochaines décennies.

Voilà pourquoi il est important de trouver des solutions. Le chanvre est une plante qui a le potentiel de complètement bouleverser l’industrie pétrochimique de plein fouet : remplacer le carburant par du biodiesel, le plastique par des composites biosourcés et finalement les isolants et les tissus de cette industrie destructrice par la fibre et la tige de chanvre. C’est loin d’être un rêve inatteignable. En réalité, la principale barrière à l’implantation du biodiesel et du composite biosourcé, c’est la quantité insuffisante de chanvre qui est cultivé. Solution : cultiver plus de chanvre !

#4 Pour la même quantité de protéines, la viande détruit notre environnement.

La viande, principalement le bœuf, est responsable d’une très grande partie de la dégradation de l’environnement. Voici quelques faits :

  • Le bétail et leurs sous-produits représentent au moins 32 000 millions de tonnes de dioxyde de carbone (CO2) par an, soit 51% de l’ensemble des émissions mondiales de gaz à effet de serre. – Worldwatch Institute
  • L’élevage de bétail est responsable de 91% de la destruction de la forêt amazonienne
  • Une boulette de bœuf haché de 100g requiert une utilisation d’environ 1550 litres d’eau pour être produite !

À partir de ce constat, est-il nécessaire de se questionner sur notre consommation de viandes et sur les alternatives ? On raconte souvent que les protéines végétales sont de moins bonnes qualités ou en quantité insuffisantes, mais c’est faux !

C’est une autre raison pour laquelle nous aimons bien parler du chanvre ; pour son excellent apport en protéines. Pour une mince portion de 33g de graines de chanvre, on obtient une portion de 11g de protéines hyper digestes.

Si l’on fait la comparaison, la même boulette de bœuf haché de 100g (avec ses 15505 litres d’eau) contient 14g de protéines. Pour la même quantité de protéines, il nous faudra 42g de graines de chanvre (avec un besoin en eau bien moindre).

Réutilisation des ressources

Au fil des ans, l’environnement est devenu un enjeu écologique certes, mais aussi économique.

Améliorer l’efficacité des ressources

Il est évident qu’une réutilisation des ressources est la chose logique à mettre en place le plus rapidement possible, des milliers de kilomètres de terres fédérales restent jusqu’à maintenant non utilisées, ainsi que plusieurs bâtiments souvent laissés à l’abandon, serait réutilisé pour la culture du cannabis médical.

Ces ressources sont disponibles et n’attendent que de pouvoir être utilisées à bon escient pour permettre à nos programmes sociaux et économiques de pouvoir fleurirent et apporter une valorisation de nos terres.

Assurer un développement économique permettant à des millions de personnes de vivre au Canada en 2050 dans des conditions socio-économiques acceptables, tout en réduisant la consommation de ressources et les impacts environnementaux de l’homme sur son environnement.

Création de nouveau secteur emploie

La culture du chanvre à grande échelle permettrait directement la création de plusieurs nouveaux secteurs d’emploi offerts à tous les Canadiens, en passant par la mise en terre à la cueillette et ce jusqu’au laboratoire ceci permettrait l’ouverture à pouvoir recevoir de la main d’œuvre de tous les secteurs.

Plusieurs étapes, dont la mise en terre, ne nécessite pas d’avoir de grandes qualifications car avec une formation de quelques heures ceci devient suffisant pour travailler dans certains secteurs bien précis, tandis que pour les secteurs plus sensibles, dont ceux de la recherche, la transformation et le développement de celui-ci ouvre la porte à une gamme de nouveaux diplômés qualifiés dans des tâches bien précises comme l’industrie du cannabis médical et récréatif ont pu nous le démontré jusqu’à maintenant.

Main d’œuvre

Qui dit culture de chanvre à grande échelle et de cannabis médical dit aussi augmentation pour laisser place à la main d’œuvre. La culture du chanvre et du cannabis comporte plusieurs étapes qui nécessite directement de main d’œuvre de tous les niveaux.

  • La préparation des champs.
  • Le bouturage ou les semis.
  • La mise en terre.
  • Le contrôle et la prévention durant le cycle de croissance.
  • Contrôle de la qualité ( test en laboratoire ).
  • La cueillette.
  • La conduite de véhicule de ferme.
  • La sécurité.
  • La recherche.
  • La transformation.
  • Le développement.
  • L’emballage.
  • Le transport.
  • La mise en marché.

et la liste est longue…

Programme spécial pour famille à faible revenu (emploie)
  • La création de nouveaux secteurs d’emplois
  • L’ouverture pour la main d’œuvre diversifiée
  • La création de garderie subventionnée
  • Les formations offertes gratuitement
  • La création de nouveaux volets de formation professionnel (DEP)
  • Programme de transport subventionné

Éducation

Nous sommes en développement pour mettre en place un programme de prévention destiné aux jeunes appelé P.E.I (Prévention – Éducation – Information). Ce programme en cours de création propose une approche éducative pour offrir des informations complètes en rapport au chanvre et au cannabis de façons à prévenir les jeunes et moins jeunes des conséquences de la consommation ou de l’utilisation.

Le développement de nouveaux programmes d’enseignement de diplôme d’étude professionnel, collégiale et universitaire. Bien que certains secteurs de cette industrie ne nécessitent aucune formation professionnelle, elle ouvre la porte à la création d’une panoplie de programmes d’études diversifiés qui seront mises en place les unes à la suite des autres.

Secteur du bâtiment

  • Création de logement social écologique
  • Garderie subventionnée, bâtiment écologie

Les sous dérivés du chanvre produisent plusieurs matériaux verts déjà connus pour ne parler que du ciment, brique, laine isolante, panneaux muraux, isolation pour toiture, recouvrement extérieur etc…

En plus d’être des matériaux complètement écologiques, la valorisation de l’utilisation de ses matériaux capture énormément de Co2 dans l’environnement puisque chaque hectare de culture de chanvre emprisonne environ 20 tonnes de carbone dans l’environnement. Nous aurions intérêt de prioriser ce type de matériaux dans toutes nos constructions car en plus d’être beaucoup plus performant au niveau énergétique, ils vous offrent un niveau de confort inégalé.

Les matériaux seraient abondants et nous permettraient la création de bâtiments à coût réduit, dont la création de garderies subventionnées, nouveaux centres pour personnes âgées subventionnées, établissements scolaires verts, maisons écologiques, logements sociaux HLM et bien plus. Nous parlons bien de nouveaux modes de construction qui répondent à nos besoins et à la dure réalité de l’évidence de devoir agir contre l’augmentation des risques climatiques.

Développement d’un nouveau marché local et international

Le chanvre et le cannabis offrent une variété incroyable de sous-produits qui offrent un développement local vraiment intéressant, plusieurs entreprises canadiennes pourraient fleurir avec ce nouveau marché.

Cette plante est en demande et ce mondialement, nous pouvons donc offrir à l’international plusieurs produits écologiques, alimentaires ou médicaux, ce qui ferait un retour direct sur notre économie qui ne peut être négligée.

Le Canada est un emplacement de choix pour développer ce marché et le chanvre est une plante qui a le potentiel de complètement bouleverser l’industrie de plein fouet.

Secteur de l’économie

La culture du chanvre et du cannabis offre une réalité économique que les canadiens doivent prendre en considération. En passant par un marché local, international et un développement plus écologique qui offrent la possibilité, par ses programmes de bâtiments subventionné, un retour au travail pour une partie de la population qui ne pouvait se le permettre par manque de garderies, d’habitations, de formations ou de transports.

Nous souhaitons vous faire part de notre profonde inquiétude quant à l’état des finances publiques du Canada. Comme vous le savez, la dette fédérale du Canada dépasse maintenant les 1176 milliards $. C’est l’équivalent d’un endettement de 30 782 $ par habitant ou de 63 913 $ par contribuable remplissant une déclaration de revenus.

Le gouvernement du Canada doit cesser de constamment gonfler la dette. Puisque le fardeau fiscal est déjà assez élevé, les Canadiens doivent voter pour une solution économique durable. Voilà pourquoi nous vous apportons une solution aisément réalisable et qui de plus est un choix moral à faire en tant que citoyen.

Secteur de la santé

Le chanvre et le cannabis ouvre la porte aussi à un nouveau secteur de recherche au Canada. Sur le plan médical, les cannabinoïdes THC et le cannabidiol CBD contenue dans cette plante ne demande qu’à faire leurs preuves scientifiques, qui sont pourtant connue depuis des centaines d’années.

Mais nous ne parlons pas seulement de THC ou de CBD le chanvre contient plus de 480 composés actifs, parmi lesquels 80 sont présents exclusivement dans le cannabis.

En comprimé, savon, shampoing, crème, en inhalation ou en ingestion, cette plante offre une variété complexe de bienfaits sur l’être humain, qui de plus est une solution complètement naturelle dans notre société bien souvent priorisée par la pharmaceutique conventionnelle qui apporte bien souvent sont baguage d’effets secondaires.

Programme de réinsertion

Depuis des dizaines d’années, le gouvernement met en place des programmes de réinsertion pour les détenus fédéraux ou même les citoyens souffrant de handicapes légers. Vous les voyez régulièrement aux abords des autoroutes à ramasser les déchets ou biens dans différents programmes spécialement mis en place selon leurs conditions.

Dans les lignes de notre plan vert nous proposons de remplacer par le chanvre toutes les phragmites envahissantes (roseau commun d’Europe) qui bordent présentement nos autoroutes canadiennes et qui est une plante envahissante qui nuit à la biodiversité, aux terres humides et aux plages.

Puisque chaque hectare de chanvre cultivé emprisonne environ 20 tonnes de Co2 en plus de pouvoir être récolté à raison de 2 fois par année, cela devient un choix responsable, logique, économique et écologique d’agir maintenant. Cette opération répond concrètement à plusieurs programmes de réinsertions et d’intégrations.

Valorisation des ressources disponibles

  • La réutilisation des terres, des bâtiments
  • La création de matériaux de construction écologique
  • Les programmes de réinsertion
  • Les nouveaux marchés
  • Le développement économique
  • Les programmes sociaux et subventionnés

Voilà quelques exemples de la valorisation possible de nos ressources disponible, en plus de venir en aide à notre planète et à notre société.

Santé publique Québécoise

Depuis 2019, le gouvernement québécois a choisi un encadrement de cette loi qui apporte des préjudices et des problématiques de société en augmentant le risque de judiciarisation des citoyens.

Les utilisateurs continuent toujours de subir le stigmatisme en place depuis des années et plusieurs se plaignent de subir des regards d’ostracisme pendant que d’autres nous confient subir de l’intimidation et de l’oppression, venant même à l’occasion de notre propre système de santé.

Les restrictions concernant la promotion du cannabis au Québec empêchent les entrepreneurs d’ici de cibler les consommateurs québécois, sous prétexte que le cannabis ne doit pas être traité comme une marchandise, selon la santé publique.

Le problème, la santé du publique est incapable de freiner le marché hors Québec qui s’impose sur son territoire.

Conséquence, les entrepreneurs québécois ont le choix de quitter le Québec ou bien d’exporter les produits hors Québec.

Pire encore, ces restrictions sur l’encadrement du cannabis sans interdire la substance est une façon détournée de faire de la prohibition. Ce qui remet en cause l’essence de la « légalisation », soit mettre fin au marché noir en maintenant un contrôle efficace sur la substance.

Nous croyons que les restrictions en matière de promotion portent atteinte sur l’égalité des chances des entrepreneurs du Québec, favorisant du même coup la délocalisation d’entreprises québécoises.

Ces restrictions empêchent les artisans et commerçants locaux de traiter avec les clients locaux. Par contre, elles laissent la porte ouverte aux entrepreneurs étrangers pour atteindre les locaux par la promotion.

Pourquoi cela arrive-t-il ? En bref, la santé publique du Québec traite les consommateurs comme des toxicomanes et le cannabis comme une drogue dangereuse plutôt qu’une plante exploitable qui offre médicament, isolation, huile, papier, textile, emploies et bien d’autres.

Pour cette raison nous demandons que le cannabis soit retiré complètement du mandat et de la juridiction Québécoise qui est encadré par la santé publique Québécoise et nous voulons que le gouvernement du Québec respecte en totalité la loi émie par le gouvernement fédéral, puisque en augmentant l’âge de possession et de consommation des adultes de 18 à 21 ans, c’est aussi à vouloir dire qu’ils ne sont pas suffisamment responsables pour voter et de choisir en toute conscience.

Nous souhaitons créer un recours pour les jeunes adultes visés par ces restrictions qui ont subis les préjudices de s’être fait supprimer l’accès à un produit déclaré essentiel en période de pandémie, alors que la tension sociétaire était au maximum et que les prescriptions anti anxiété ont grimpé en flèche, ils ont dû se tourner vers un marché noir, ce qui va directement à l’encontre du fondement même de la légalisation qui se veut opposé au marché noir.

Les lois du cannabis

Plus de 500 000 canadiens possèdent un casier judiciaire en rapport avec une infraction liée au cannabis, le parti Libéral a promis qu’il suspendrait 10 000 de ces casiers judiciaires de simple possession. 10 000 sur 500 000, ce qui représente 2%, on est donc très loin du 100%. La suspension de ces casiers judiciaires est la chose morale à faire.

Nous souhaitons terminer cette promesse faite par le libéral et de plus nous souhaitons retirer cette matière complètement du classement des substances contrôlées et du code criminel et du contrôle abusif mise par la santé publique.

Taxes et cannabis médical

Malgré que tous les médicaments prescrits ne soient pas taxés par le gouvernement du Canada, le cannabis médical est le seul médicament d’ordonnance qui persiste toujours à être taxé. Nous souhaitons faire supprimer cette taxe et créer un recours pour tous les patients pour qu’ils récupèrent les taxes qui ne devaient pas être payées.

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